<p>&laquo;... Comme je rentrais, fort troubl&eacute;e, je songeai, en passant pr&egrave;s de la voiture de M. Pontet, que celui-ci avait d&ucirc; &ecirc;tre appel&eacute; par sa s&oelig;ur pour pr&ecirc;ter main-forte &agrave; Saturnin dans ce transport. Car autrement, si les choses s&rsquo;&eacute;taient pass&eacute;es comme elle le pr&eacute;tendait, qu&rsquo;avait-elle besoin de sa pr&eacute;sence ? Elle n&rsquo;avait du reste pas fait allusion &agrave; cet appel, comme si cette visite &eacute;tait fortuite ainsi qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;ordinaire.</p><p>Je me gardai de dire mot &agrave; Sylvine de mes soup&ccedil;ons. Mais l&rsquo;atmosph&egrave;re de cette demeure devenait pour moi de plus en plus lourde. J&rsquo;aspirais &agrave; confier &agrave; mes amis Paviers ce que je venais de d&eacute;couvrir. Il y aurait l&agrave;, certainement, de quoi servir la cause de Th&egrave;cle et de Sylvine...&raquo;</p>