L'étude montre que les dermatoses étudiées sont corrélées à des défenses mentales non vigoureuses. Elle laisse supposer que la dermatose fonctionne comme une décompensation psychotique sans atteindre toutefois sa systématique. En effet, les protocoles recueillis auprès de ces sujets (entretiens non directifs, épreuves de personnalité et épreuve graphique) montrent dans tous les cas la proximité des processus primaires par l'échec des processus d'intériorisation du pare-excitation. Le choix de la peau répond plus à l'intolérance du toucher, qu'à son interdit.