<p>Traduit &agrave; ce jour en 300 langues, Le Petit Prince est le deuxi&egrave;me ouvrage le plus traduit au monde apr&egrave;s la Bible.<br />
Le langage, simple et d&eacute;pouill&eacute;, parce qu&#39;il est destin&eacute; &agrave; &ecirc;tre compris par des enfants, est en r&eacute;alit&eacute; pour le narrateur le v&eacute;hicule privil&eacute;gi&eacute; d&#39;une conception symbolique de la vie. Chaque chapitre relate une rencontre du petit prince, qui laisse celui-ci perplexe, par rapport aux comportements absurdes des &laquo; grandes personnes &raquo;. Ces diff&eacute;rentes rencontres peuvent &ecirc;tre lues comme une all&eacute;gorie.<br />
Les aquarelles font partie du texte et participent &agrave; cette puret&eacute; du langage : d&eacute;pouillement et profondeur sont les qualit&eacute;s ma&icirc;tresses de l&#39;&oelig;uvre.<br />
On peut y lire une invitation de l&#39;auteur &agrave; retrouver l&#39;enfant en soi, car &laquo; toutes les grandes personnes ont d&#39;abord &eacute;t&eacute; des enfants. (Mais peu d&#39;entre elles s&#39;en souviennent.) &raquo;. L&#39;ouvrage est d&eacute;di&eacute; &agrave; L&eacute;on Werth, mais &laquo; quand il &eacute;tait petit gar&ccedil;on &raquo;.</p>